Le saint-Viatique, communion des mourants
(Avec AFP)
[01 avril 2005]
Le pape Jean Paul II, dans un état «critique», a reçu hier soir le «saint viatique», c'est-à-dire la communion, proposée en «viatique» à ceux qui vont mourir.
La communion, ou eucharistie, est au coeur de la vie chrétienne et les catholiques les plus fervents communient tous les jours. Quand la fin est proche, l'eucharistie est reçue en «viatique» (c'est-à-dire en provision de route), pour aider le croyant à assumer sa propre mort. Mais il n'existe pas à proprement parler de «sacrement de la mort» dans l'Eglise catholique.
Aux malades dont la santé commence à être dangereusement compromise et qui demandent un réconfort, l'Eglise propose «le sacrement des malades». Il a été longtemps appelé «extrême onction» parce qu'il comprend un rite «d'onction» (apposition d'huiles saintes sur le front) et qu'il était réservé aux mourants.
Mais aujourd'hui, le «sacrement des malades» peut être demandé par tous ceux dont la santé est compromise.
[01 avril 2005]
Le pape Jean Paul II, dans un état «critique», a reçu hier soir le «saint viatique», c'est-à-dire la communion, proposée en «viatique» à ceux qui vont mourir.
La communion, ou eucharistie, est au coeur de la vie chrétienne et les catholiques les plus fervents communient tous les jours. Quand la fin est proche, l'eucharistie est reçue en «viatique» (c'est-à-dire en provision de route), pour aider le croyant à assumer sa propre mort. Mais il n'existe pas à proprement parler de «sacrement de la mort» dans l'Eglise catholique.
Aux malades dont la santé commence à être dangereusement compromise et qui demandent un réconfort, l'Eglise propose «le sacrement des malades». Il a été longtemps appelé «extrême onction» parce qu'il comprend un rite «d'onction» (apposition d'huiles saintes sur le front) et qu'il était réservé aux mourants.
Mais aujourd'hui, le «sacrement des malades» peut être demandé par tous ceux dont la santé est compromise.
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